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Que retenir de ce texte : Un homme jugé au tribunal de Caen : « C’est ma femme, je fais ce que je veux ! »

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Nous nous empressons de faire la lumière sur ce texte qui vient d’être publié, dont le sujet est «la justice».

Son titre (Un homme jugé au tribunal de Caen : « C’est ma femme, je fais ce que je veux ! ») est sans détour.

Le rédacteur (présenté sous le nom d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.

Il n’y a aucune raison de ne pas croire du sérieux de ces révélations.

Dispute couple dans une voiture Illustration
Un homme avait tiré sa femme par les cheveux pour la sortir de la voiture : il a été jugé jeudi 24 novembre pour violences conjugales. Illustration ©Adobe Stock – Voyagerix

Angèle* et Boris* boivent. Ils ont formé un couple qui fonctionnait comme ça, durant trois ans. Lui se plaît à répéter à la barre du tribunal correctionnel, où il a comparu jeudi 24 novembre : « Elle boit, depuis des années, depuis le décès de son père, elle boit, elle boit, elle boit ! » Pourtant, ce n’est pas elle qui se retrouve mise en cause pour violence et conduite en état alcoolisé, c’est lui. Les faits qui lui sont reprochés datent du 1er juillet 2022.

Trois ans de vie commune, deux plaintes retirées

Au cours des trois ans durant lesquels ils ont partagé leur vie, Angèle a déposé deux plaintes contre Boris, pour violences conjugales. Mais elle les a retirées à chaque fois. Ce jour de juillet dernier, une dispute éclate dans la voiture tandis que Boris, ivre, est au volant. Il tire violemment Angèle du véhicule pour l’en faire descendre, en la giflant et la tirant par les cheveux. Lorsqu’un passant tente d’intervenir, Boris lui lance : « C’est ma femme ! Je fais ce que je veux ! »

Interpellé un peu plus tard, il a plus d’un gramme d’alcool par litre de sang. À la barre, il reconnaît les faits, mais à sa manière.

Je lui ai dit de dégager. Et puis voilà, on s’est tapé dessus, et puis voilà…

Le prévenu, à la barre du tribunal de Caen

Ces propos déplaisent à la procureure. « Et puis voilà, dit-il… comme si c’était ordinaire, banal, normal ! ». Elle récapitule : conduite alcoolisée et violences. « Il n’a pas fait profil bas. Il a insulté allégrement sa compagne devant les gendarmes ». Elle requiert une peine de 5 mois de prison avec un sursis probatoire de 24 mois. 

Prison avec sursis

« On le présente comme un homme violent, mais il n’y a aucune mention pour violences dans son casier. Il n’y a que des délits routiers », plaide l’avocate de la défense. Elle décrit un couple qui a pour habitude de boire ensemble, et une femme sujette à des crises d’hystérie.

Boris écope de 5 mois de prison avec sursis simple et devra suivre un stage de responsabilisation pour la prévention et la lutte contre les violences au sein du couple, à effectuer dans les 6 mois. S’il ne le fait pas, le sursis pourrait être révoqué.

*Prénoms d’emprunt.

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Dernière actu toute fraiche : Daki : «La profession d’avocat a contribué dans plusieurs étapes de l’histoire de la justice au Maroc»

Voici un éditorial que je suis heureux de présenter ici sur notre blog. La thématique est « la justice ».
Son titre troublant (Daki : «La profession d’avocat a contribué dans plusieurs étapes de l’histoire de la justice au Maroc») en dit long.

L’éditorialiste (annoncé sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez donc faire confiance aux informations qu’il communique.

Le papier a été diffusé à une date mentionnée 2022-11-27 04:33:00.

31ème congrès de l’association des barreaux du Maroc

La profession d’avocat a contribué dans plusieurs étapes de l’histoire de la justice au Maroc au service des causes de la société, a souligné, jeudi à Dakhla, le procureur général du Roi près la Cour de Cassation, président du Ministère public, El Hassan Daki.

Intervenant à l’ouverture du 31ème congrès de l’association des barreaux du Maroc, organisé sous le thème « la profession d’avocat au Maroc, un militantisme constant, une sécurité professionnelle impérieuse et une appartenance africaine permanente », M. Daki a indiqué que les membres de la défense ont contribué à asseoir le processus démocratique et à défendre les droits de l’Homme et les libertés.

« La profession d’avocat a joué des rôles importants dans le renforcement de l’esprit patriotique et la revendication de l’indépendance du Maroc », a-t-il poursuivi, notant qu’elle a également contribué à la dynamique législative, à travers des recommandations et propositions portant sur une série de textes juridiques concernant les garanties du procès équitable et les droits et libertés, en coordination étroite avec les différents intervenants dans le domaine de la justice.

Dans ce cadre, le président du Ministère public a mis en exergue l’importance de la profession d’avocat, qui « contribue amplement à établir la justice, préserver les droits et à garantir le principe de la primauté de la loi dans le cadre des principes universels de justice », ce qui a permis ainsi de conférer à l’avocat la place qui lui échoit.

Le 31è congrès de l’association des barreaux du Maroc constitue « une opportunité pour unifier les visions sur des questions majeures servant les intérêts de la justice dans notre pays », de manière à permettre à la profession d’avocat de remplir les missions qui lui incombent en matière de défense des droits et des libertés, a-t-il avancé, se disant convaincu que la réforme du système de la justice passe par l’implication de l’ensemble de ses composantes.

Par ailleurs, il a plaidé pour davantage de synergie et de coopération entre les avocats marocains et leurs homologues africains frères, en vue de concrétiser la complémentarité et l’intégration en matière de défense à l’échelle africaine.

Bibliographie :

Droit pénal général et procédure pénale,Le livre .

La justice des vainqueurs : de Nuremberg à Bagdad,Le livre .

Wikipédia/Découvrir Wikipédia/Principes fondateurs,Le livre .

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NL – Pharmathen c. Novartis / Appel-(plateforme web)

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NL – Pharmathen c. Novartis / Appel

Publié : 25 novembre 2022

Pharmathen Global BV c. Novartis AG, Cour d’appel de La Haye, Pays-Bas, 15 novembre 2022, affaire no. ECLI:NL:GHDHA:2022:2327

Novartis est titulaire – entre autres – du brevet européen EP 2 377 519 B1 intitulé « Pharmaceutical Composition Comprising Octreotide Microparticles »

Novartis commercialise un produit injectable à libération prolongée (ci-après également : « LAR ») contenant de l’octréotide sous le nom de Sandostatine LAR. L’octréotide est similaire à la somatostatine, une hormone du corps, et bloque la production de nombreux types d’hormones. L’octréotide est prescrit dans le traitement de diverses tumeurs cancéreuses des organes producteurs d’hormones. Des microparticules constituées d’un polymère poly(lactide-co-glycolide) (ci-après : PLG) biodégradable et d’acétate d’octréotide sont injectées dans le muscle au moyen d’une injection. Les microparticules libèrent lentement l’octréotide dans la circulation sanguine.

Au sein du groupe Pharmathen, Pharmathen Grèce produit des produits injectables à base d’octréotide LAR en Grèce. Dans la fabrication de ces produits, Pharmathen SA utilise des polymères PLGA appelés Purasorb.

Novartis est d’avis que Pharmathen viole le brevet de Novartis en fabriquant ses produits à base d’octréotide LAR. Auparavant, le juge néerlandais des mesures provisoires avait accordé la demande de Novartis d’interdire à Pharmathen de contrefaire le brevet de Novartis pour tous les pays où le brevet de Novartis est en vigueur. Pharmathen a fait appel et a largement échoué.

Il n’est pas contesté entre les parties que la méthode utilisée par Pharmathen Greece et Pharmathen Global n’enfreint pas littéralement l’EP 519. Il est également constant entre les parties que Pharmathen Greece et Pharmthen Global utilisent un produit PLG appelé Purasorb de Corbion pour la production de microparticules d’acétate d’ocréotide, qui est fabriqué avec du glucose comme initiateur. Novartis fait valoir à cet égard que Purasorb équivaut à un PLG linéaire au sens de l’EP 519. Pharmathen Global le conteste.

La Cour d’appel applique les quatre conditions d’équivalence telles que formulées dans l’arrêt antérieur Eli Lilly c. Fresenius / Pemetrexed et partage l’avis de Novartis :

La méthode appliquée par Pharmathen Greece et Pharmathen Global résout également les problèmes sous-jacents au brevet et Purasorb remplit la même fonction dans ce contexte que le PLG linéaire revendiqué. La deuxième exigence de protection équitable du titulaire du brevet a également été satisfaite. Pharmathen Grèce et Pharmathen Global appliquent les enseignements du brevet dans leurs pratiques et réalisent ainsi les avantages associés. Ceci, selon la Cour d’appel, plaide en faveur de l’inclusion de cette méthode dans le champ d’application de l’EP 519.

La Cour d’appel constate également qu’il existe un degré suffisant de sécurité juridique. L’homme du métier comprendra que les revendications du brevet laissent place à des équivalents, car l’enseignement du brevet pour l’homme du métier est clairement plus large que la seule utilisation du PLG linéaire revendiqué et inclut également l’utilisation de Purasorb.

Le fait que Purasorb ne soit pas littéralement qualifié de « PLG linéaire » au sens de l’EP 519 est lié au fait qu’aucune méthode n’était disponible à la date de priorité pour déterminer avec précision le degré de ramification des PLG et que les PLG ont donc été classés en conséquence à l’initiateur utilisé. Cependant, au moment où Pharmathen Grèce et Pharmathen Global ont commencé à appliquer leur méthode, la publication de [… 1] était apparu. En elle [… 1] a introduit une méthode permettant de déterminer assez précisément le degré de ramification des PLG et il a publié des données sur Purasorb, entre autres, qui montrent clairement que Purasorb contient une proportion considérable de PLG linéaire. À la lumière de ces nouvelles informations et sachant que les avantages de l’invention pouvaient être réalisés avec Purasorb, il était suffisamment clair pour l’homme du métier moyen que Purasorb est un équivalent du PLG linéaire revendiqué dans EP 519 et que le méthode de Pharmathen Grèce et Pharmathen Global entre donc dans le champ de protection de EP 519.

La cour d’appel constate donc que Pharmathen viole l’EP 519 et confirme le jugement du juge des référés à cet égard. Cependant, la Cour d’appel ne pense pas qu’une injonction supplémentaire fondée sur des actes illégaux soit en place :

« Novartis n’a pas fait valoir que Pharmathen Global agissait illégalement autrement que par les faits susmentionnés, qui constituent une contrefaçon de la part de Pharmathen Global. Il n’y a donc pas lieu d’accorder l’injonction alléguée contre un comportement illégal, en plus de l’injonction alléguée en contrefaçon, et Novartis n’y a pas non plus d’intérêt. Compte tenu de la manière dont Pharmathen Global commet une infraction, notamment en gérant Pharmathen Grèce, l’injonction demandée d’enjoindre à Pharmathen Grèce de mettre fin à l’infraction est un recours approprié en plus de l’injonction d’infraction, bien qu’excluant les infractions à la partie grecque de l’EP 519 à éviter une collision avec le jugement grec.

Une copie de la décision (en néerlandais) peut être lue ici.

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Sur le web : «Longue vie à notre cité judiciaire»

Notre équipe vient de remarquer ce papier sur la thématique « la justice ». Avec plaisir nous vous en communiquons l’essentiel dans cette publication.

Le titre saisissant («Longue vie à notre cité judiciaire») est évocateur.

Sachez que le chroniqueur (identifié sous la signature d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur internet.

Les infos concernées sont de ce fait évaluées valables.

Texte en question :

Il n’a « aucun » souvenir de la cérémonie d’inauguration de la cité judiciaire de Villefranche-sur-Saône. Pourtant, Robert Badinter, alors Garde des Sceaux, avait bien foulé le sol du palais de justice il y a 40 ans, presque jour pour jour, pour célébrer son ouverture. C’est en vidéo, interviewé par la présidente France Rouzier, qu’il a adressé quelques mots à l’assemblée, nombreuse, venue fêter cet anniversaire.

Robert Badinter, François Molins

S’il n’a aucun souvenir « visuel » de l’inauguration, il garde en revanche en mémoire l’accueil « très chaleureux » qui lui avait été réservé. Défenseur de la justice de proximité, Robert Badinter,…

Publications sur un thème analogue:

Droit pénal général et procédure pénale,Le livre .

L’indépendance de la justice,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Photographie/Sociétés et Organisations/Éditeurs de cartes postales/Aqua Photo (Léopold Verger & Cie ),A voir et à lire. .

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Revue de presse internet : Un an après une retentissante tribune, les magistrats crient toujours leur souffrance au travail

A relever, cet article sur internet dont la thématique est « la justice » et qui va vous satisfaire.

Son titre (Un an après une retentissante tribune, les magistrats crient toujours leur souffrance au travail) est parlant.

Le rédacteur (annoncé sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez lire ces infos en confiance.

Voici lle « papier » :

« Nous sommes finalement confrontés à un dilemme intenable : juger vite mais mal, ou juger bien mais dans des délais inacceptables », alertaient neuf jeunes juges et parquetiers dans cet appel coécrit lors de « réunions Zoom » après le suicide de leur collègue Charlotte, 29 ans, magistrate à la cour d’appel de Douai. Quand il paraît dans Le Monde le 23 novembre 2021, ce « cri du cœur » affiche plus de 3 000 signataires, puis près du double en quelques semaines, soit les deux tiers des magistrats.

Une souffrance éthique

Ce succès aussi fulgurant qu’inédit au sein d’une profession peu encline à s’exprimer à haute voix a « stupéfait », en premier lieu, les coauteurs de la tribune. « On était content entre guillemets et en même temps, c’est assez violent de se rendre compte que cette souffrance éthique qu’on dénonçait dans notre métier était largement partagée par nos collègues », déclare l’une des rédactrices, Bérangère Théry, substitut à Tours.

La tribune décrit ces audiences civiles où les juges n’ont « que sept minutes » pour écouter des personnes surendettées, ces audiences pénales surchargées où il faut « choisir entre juger à minuit » ou renvoyer le dossier à un an plus tard, une « perte de sens » et même une « honte » de cette « justice maltraitante » pour les citoyens et ceux qui la rendent.

« Libération de la parole »

« Ce n’était pas pour dire c’est trop dur le travail mais pour affirmer on n’a plus la possibilité de le faire dans des conditions acceptables et donc on fait du mauvais travail et cela nous fait souffrir », retrace Anne Michaut, magistrate aujourd’hui en disponibilité. La souffrance au travail n’est désormais plus « un tabou », se satisfait-elle. « Parce qu’il y a eu ce texte-là, certains collègues ont osé dire je suis à bout. Cela a créé une libération de la parole », renchérit Clara Lanoës, juge à Arras.

Sur les réseaux sociaux, une multitude de récits exprimant la « désespérance » de magistrats et greffiers affluent alors sous le mot-clé « Justice malade ». Dans une sorte d’« union sacrée », la hiérarchie judiciaire partage le constat d’une « justice exsangue ». Un état de déliquescence validé quelques mois plus tard dans le rapport des États généraux de la justice, lancés un mois avant la tribune.

« C’est un mouvement de fond qui a marqué », estime Bérangère Théry. « Malheureusement, est-ce que mon quotidien a changé ? Non », affirme celle qui, quelques jours plus tôt, a fini son audience à 22 h 30, qui doit faire avec des logiciels informatiques défaillants et continue à travailler les soirs et les week-ends pour avancer sur ses dossiers.

Une journée de mobilisation mardi

« C’est compliqué de se dire en fait non, je ne vais pas rester plus tard, je ne réponds pas à mon courrier, je vais préparer mes audiences moins dans le détail », justifie Bérangère Théry. « On continue de travailler de façon dégradée. C’est sans cesse une espèce de balance, se dire pour avoir parfois des délais plus acceptables je motive moins, mais c’est notre mission de justifier en droit et, en fait, chaque décision qu’on prend », abonde Clara Lanoës.

« Tant qu’on n’aura pas plus d’effectifs, on n’y arrivera pas », appuie-t-elle. Les recrutements annoncés de magistrats, 1 500 en cinq ans, doivent tenir compte du temps de formation de plus de deux ans et restent « largement insuffisants » pour les 18 organisations qui appellent à une journée de mobilisation mardi de tous les professionnels contre une « justice au rabais ».

Des renforts espérés

À l’initiative du garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti, les chefs de juridictions ont évalué à « 4 991 » les postes à créer pour que la justice fonctionne, rappelle Kim Reuflet, présidente du Syndicat de la magistrature.

Publications sur le même sujet:

Droit des sociétés/Les sociétés commerciales non immatriculées,A voir et à lire. .

Les Écrivains/La littérature en justice,Le livre .

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Ne manquez pas cette infos : Nicolas Zepeda à la recherche d’un nouvel avocat

Nos rédacteurs ont remarqué un texte sur le web dont la thématique est «la justice».

Son titre saisissant (Nicolas Zepeda à la recherche d’un nouvel avocat) est parlant.

Annoncé sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Vous pouvez de ce fait faire confiance aux révélations qu’il publie.

En pleines préparations de son procès en appel, Nicolas Zepeda et le cabinet de Me Jacqueline Laffont stoppent leur collaboration, révèlent nos confrères de L’Est Républicain. Le Chilien a été condamné le 12 avril par la cour d’assises de Besançon à 28 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki. Son procès en appel se tiendra du 21 février au 10 mars 2023 à Vesoul.

Me Jacqueline Laffont a adressé mardi 15 novembre un courrier à la juridiction d’appel de Besançon, pour acter la fin de la collaboration. Une nouvelle qui ne surprend cependant pas les personnes qui suivent le dossier. « J’ai essayé de défendre Nicolas Zepeda envers et contre tout, contre les charges, contre lui-même et parfois contre moi-même », avait avoué Me Laffont aux jurés. Son prestigieux cabinet et le clan Zepeda se seraient séparés « d’un accord commun ».

Le clan Zepeda privilégie les cabinets habitués à la médiatisation

Cependant, le Chilien n’aura aucun mal à se trouver un nouvel avocat, plusieurs s’étant déjà fait connaître auprès des siens pour le représenter en appel. Selon L’Est Républicain, depuis des mois, Humberto Zepeda -le père de Nicolas- multiplie les visioconférences avec des pénalistes français, notamment des cabinets ayant déjà eu à gérer des affaires médiatiques. Certains avocats, avec qui les tractations semblent plus avancées, auraient même rendu visite au jeune Chilien en prison.

Narumi Kurosaki n’a plus été revue depuis le 4 décembre 2016 et son corps n’a jamais été retrouvé. L’étudiante de 21 ans était arrivée à Besançon à l’été 2016 pour une année d’études. Nicolas Zepeda et elle ont formé un couple. Mais la jeune femme a rompu. Nicolas Zepeda n’a cessé tout au long de son procès de clamer son innocence, malgré de nombreux éléments à charge.

Le procès en appel est prévu dès le 21 février à la cour de Vesoul. Ce qui laisse peu de temps au nouvel avocat pour se préparer. Dès lors, un renvoi du procès à une date ultérieure pourrait être demandé. En absence d’avocat, la cour d’assises en désignerait un d’office.

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L’OFSI délivre une licence générale pour le paiement des factures de services publics

L’OFSI a délivré aujourd’hui une licence générale (GL) INT/2022/2300292« Paiement aux compagnies d’énergie pour le gaz et/ou l’électricité» (Avis) sous tous les régimes de sanctions autonomes du Royaume-Uni. Le GL autorise jusqu’au 16 avril 2023 :

  • Le Royaume-Uni a désigné des personnes et des entités (DP) pour effectuer des paiements de services publics pour l’approvisionnement en gaz et en électricité de propriétés britanniques détenues ou louées par des DP britanniques. Le paiement peut être effectué aux sociétés d’énergie enregistrées à l’OFGEM à partir d’un compte bancaire britannique gelé par virement bancaire ou par prélèvement automatique.
  • L’OFGEM a enregistré les sociétés d’énergie pour recevoir les paiements autorisés et effectuer des remboursements sur des comptes bancaires britanniques gelés.
  • Les partenaires au développement britanniques recevront les remboursements des sociétés énergétiques sur un compte bancaire britannique gelé.
  • Les institutions britanniques compétentes pour traiter les paiements effectués conformément à ce qui précède.

Ceux qui utilisent le GL sont soumis à certaines exigences en matière de rapports et de tenue de registres. Le GL n’autorise pas la fourniture de gaz et/ou d’électricité à toute personne ou entité désignée par l’ONU.

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Dernière actu pour vous : la justice néerlandaise rend une décision sans équivoque sur la responsabilité de Moscou

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En parcourant le web j’ai trouvé un éditorial qui va vous plaire. Sa thématique est « la justice ».

Le titre séduisant (la justice néerlandaise rend une décision sans équivoque sur la responsabilité de Moscou) parle de lui-même.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», l’auteur est connu et fiable pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.

Le papier peut en conséquence être pris au sérieux.

Le juge président Hendrik Steenhuis, deuxième à partir de la gauche, prend la parole lors de la séance de verdict du procès du vol 17 de Malaysia Airlines devant le tribunal de haute sécurité de l’aéroport de Schiphol, près d’Amsterdam, aux Pays-Bas, le jeudi 17 novembre 2022.

Trois condamnations à perpétuité, un acquittement : le tribunal néerlandais chargé d’examiner le dossier de la destruction du vol MH17 de la Malaysia Airlines au-dessus de l’Ukraine, en juillet 2014, qui a entraîné la mort de 298 passagers et membres d’équipage, a rendu son verdict, jeudi 17 novembre. Il aura fallu pour cela deux ans et demi et 68 audiences.

Lire aussi Crash du vol MH17 : l’enquête impossible

Aussitôt, Volodymyr Zelensky a salué une « décision importante » du tribunal de La Haye. « Le verdict d’aujourd’hui envoie un message à la Russie : aucun mensonge ne peut aider à échapper à la justice, a réagi sur Twitter le président ukrainien. La punition pour toutes les atrocités russes, à la fois d’hier et d’aujourd’hui, sera inévitable. »

Quatre hommes, trois Russes et un Ukrainien, figuraient parmi les prévenus fantômes de ce procès commencé en mars 2020. On ne les a jamais vus à Badhoevedorp, dans la banlieue d’Amsterdam, où siégeait le tribunal spécial : ils ont refusé toute comparution et ont été jugés in abstentia. Un seul, le Russe Oleg Poulatov, 56 ans, se sera fait représenter par un avocat et aura livré une déclaration par vidéo pour nier toute implication dans la catastrophe. Une stratégie apparemment payante : la cour a jugé que sa responsabilité dans les faits n’était pas totalement établie et estimé qu’il devait être acquitté. Le parquet devrait, en principe, faire appel de cette décision.

Quatre-vingts enfants tués

Au moment des faits, Oleg Polatov était officier des forces spéciales russes et l’adjoint d’un deuxième prévenu, Sergueï Doubinski, 60 ans, ex-officier du renseignement militaire russe (GRU). Ce dernier, vétéran des guerres en Afghanistan et en Tchétchénie dirigeait alors les renseignements militaires de la République populaire autoproclamée de Donetsk (RPD), dans le Donbass. L’Ukrainien Leonid Khartchenko, 50 ans, lui aussi sous les ordres de Doubinski, commandait une unité de combat des séparatistes.

Le quatrième prévenu, Igor Guirkine, 51 ans, un colonel du SVR, le service des renseignements russes, tenait le rôle de ministre de la défense et commandant de la RPD. Les juges l’ont désigné comme le principal organisateur de l’opération qui a conduit à la mort des 298 personnes. Et, à l’instar de ses deux comparses, il a été condamné à la détention à perpétuité. Tous trois sont aussi condamnés à dédommager les familles des victimes à hauteur de 16 millions d’euros.

Lire aussi Article réservé à nos abonnés Vol MH17 : au procès, des histoires intimes se mêlent à l’histoire avec un grand H

Les occupants du vol Amsterdam-Kuala Lumpur – dont 80 enfants – étaient de dix nationalités différentes mais les Pays-Bas ont payé le plus lourd tribut, avec 193 ressortissants tués. Un drame « à peine concevable » avait commenté, lors du démarrage du procès, Hendrik Steenhuis, le président du tribunal. « La fin, d’une horrible manière, d’existences qui, parfois, avaient à peine commencé », disait-il jeudi, devant une salle où régnait une intense émotion.

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Quoi retenir de ce texte : un tribunal néerlandais rend son verdict

J’ai remarqué un papier sur internet dont le propos est «la justice».

Le titre saisissant (un tribunal néerlandais rend son verdict) est parlant.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», le pigiste est positivement connu.

Le papier peut en conséquence être pris au sérieux.

L’article original en question :

Publié le :

Après un procès qui aura duré près de trois ans, les familles des victimes du MH17 se préparent pour le verdict qui doit être prononcé en début d’après-midi ce 17 novembre aux Pays-Bas, dans un tribunal hautement sécurisé de Schiphol, à quelques centaines de mètres de l’endroit d’où était parti l’avion de la Malaysia Airlines le 17 juillet 2014. Le Boeing dans lequel se trouvaient leurs proches a été pulvérisé alors qu’il survolait l’est de l’Ukraine déjà en proie à un grave conflit armé. Quatre suspects, trois ressortissants russes et un Ukrainien sont jugés par contumace. L’attente aux Pays-Bas est d’autant plus grande que sur 298 victimes, 193 étaient néerlandaises. Rencontre avec une proche de victimes à Rotterdam.

Avec notre correspondant aux Pays-Bas, Antoine Mouteau

Pour Silene Frederiksz, le temps s’est arrêté le 17 juillet 2014 lorsqu’elle reçoit un appel téléphonique lui indiquant qu’il est arrivé quelque chose de grave à son fils Bryce, 23 ans, et à sa petite amie Daisy, 21 ans. Quelques heures plus tôt, ils s’étaient envolés vers des vacances à Bali. Elle ne les reverra jamais.

Plus de huit ans après, elle est toujours aussi déterminée à obtenir justice. « C’est un devoir moral, confie-t-elle. C’est la dernière chose que je puisse faire pour les enfants. Et avec mon mari, nous nous sommes toujours dits que nous continuerons de nous battre jusqu’à la fin pour la vérité, la vérité entière. »

Quatre accusés

Selon une enquête internationale, le Boeing de la Malaysia Airlines en provenance d’Amsterdam et à destination de Kuala Lumpur a été détruit en vol par un missile Buk de fabrication russe, tiré par une unité indépendantiste pro-russe déployée dans l’est de l’Ukraine. Le Kremlin continue de nier toute implication dans le crash.

De son côté, le parquet néerlandais requiert la perpétuité pour quatre accusés, trois ressortissants russes et un Ukrainien, gradés ou paramilitaires. Même en cas d’une condamnation aujourd’hui, il est peu probable que les accusés soient extradés un jour vers les Pays-Bas. Mais selon Silene Frederiksz et d’autres proches de victimes, cela les aiderait au moins à tourner quelques pages du cauchemar dans lequel ils ont été plongés.

Bibliographie :

Appel à la justice de l’État/Lettre aux Canadiens,Ouvrage .

La fabrique des jugements,Le livre . Ouvrage de référence.

Violences conjugales : faire face et en sortir,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

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Sur le web : La Secrétaire Générale à Berlin pour la cérémonie d’ouverture du Huitième congrès mondial contre la peine de mort

Nous allons tout vous révéler sur ce post qui vient d’être publié, dont le sujet est «la justice».

Son titre saisissant (La Secrétaire Générale à Berlin pour la cérémonie d’ouverture du Huitième congrès mondial contre la peine de mort) en dit long.

L’écrivain (présenté sous la signature d’anonymat
) est positivement connu.

Le papier peut donc être pris au sérieux.

L’éditorial a été diffusé à une date indiquée 2022-11-16 07:10:00.

Voici ll’article dont il s’agit :

“Condamner à mort, ce n’est pas faire justice. La peine capitale remplace la justice par une vengeance. C’est une erreur – et il faut y mettre fin », s’est exclamé la Secrétaire Générale Marija Pejčinović Burić lors d’une table ronde à l’ouverture du Huitième congrès mondial contre la peine de mort, qui se tient du 15 au 18 novembre à Berlin. L’événement rassemble plus d’un millier de participants, venus de plus de 120 pays. « Le Conseil de l’Europe continuera de faire valoir que la peine de mort ne devrait jamais être prononcée », a souligné la Secrétaire Générale.

Interrogée sur les menaces qui pèsent sur l’abolition de la peine de mort dans le contexte de la situation actuelle en Europe, la Secrétaire Générale a évoqué la pratique en Biélorussie et les condamnations à mort prononcées cet été dans le Donbass ukrainien occupé : « Mais ici, en Europe, la situation est loin d’être idéale ».  Alors que les 46 États membres qui composent le Conseil de l’Europe constituent une zone sans peine de mort, elle a souligné que « même dans les sociétés qui ont aboli la peine capitale, nous ne devons jamais cesser notre travail pour informer la population sur les raisons pour lesquelles c’était la bonne chose à faire ».

La visite de la Secrétaire Générale en Allemagne comprenait également des réunions de haut niveau avec la Ministre fédérale des Affaires étrangères Annalena Baerbock et le Ministre fédéral de la Justice Marco Buschmann.

Parutions:

Appel à la justice de l’État/Lettre au roi,A voir et à lire. .

La Menteuse et la Ville,Le livre .

Paroles de palais de justice,Ouvrage .