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Revue de presse internet : Violences à Kervénanec : le tribunal relaxe un jeune Lorientais

Sur cette parution, un tout nouvel éditorial qui va s’adjoindre à notre revue de presse sur « la justice ».

Le titre (Violences à Kervénanec : le tribunal relaxe un jeune Lorientais) parle de lui-même.

L’éditorialiste (présenté sous le nom d’anonymat
) est positivement connu.

Le papier a été publié à une date notée 2023-11-06 12:08:00.

Texte :

Le 2 juillet 2023, une patrouille de police se rend dans le quartier de Kervénanec, à Lorient. Rue Maurice-Thorez, les forces de l’ordre aperçoivent un tas de barricades sur la voie publique. À peine posent-ils le pied à terre pour dégager la route qu’ils reçoivent des projectiles, dont une bouteille de verre, de la part d’un groupe d’une vingtaine de personnes. Un policier réussit à identifier l’auteur du jet de la bouteille qui prend la fuite avant d’être interpellé par un équipage de la Bac (Brigade anti-criminalité) peu de temps après.

« Mon seul tort est d’avoir couru »

Le mis en cause, qui comparaissait ce lundi 6 novembre 2023, devant le tribunal de Lorient, nie être l’auteur des faits. « C’est pas moi. Ce soir-là, j’étais avec des amis. Pour moi, les barrières avaient été installées là pour bloquer la circulation pendant la fête de quartier, pas pour empêcher la police de passer. On s’est enfuis parce qu’on voulait éviter le contrôle. Mon seul tort, c’est d’avoir couru ».

Lors de son audition, le prévenu de 21 ans avait dénoncé une interpellation violente : « j’ai senti des pieds heurter ma tête quand j’étais à terre ».

« Une tendance à surjouer son innocence »

Pour le procureur, « le prévenu a tendance à surjouer son innocence. Mais cela ne constitue pas une preuve. Il sait très bien ce qu’il a fait mais préfère garder le silence concernant ceux qui l’accompagnaient, refuse de donner le code de déverrouillage de son téléphone portable au prétexte qu’il y a des photos de sa copine dessus ». Une peine d’amende de 600 € a été requise.

Placé sous contrôle judiciaire depuis le 3 juillet, avec interdiction de paraître dans le quartier de Kervénanec, ce fils de militaire n’a aucune mention à son casier judiciaire.

Relaxé par le tribunal pour les faits de violence, il a été condamné à 400 € d’amende.

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