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ICO ordonne aux entreprises de cesser d’utiliser la technologie de reconnaissance faciale et la numérisation d’empreintes digitales pour surveiller la fréquentation

Le 23 février 2024, le Bureau du commissaire à l’information du Royaume-Uni (l’« ICO ») a signalé qu’il avait ordonné aux prestataires de services publics Serco Leisure, Serco Jersey et aux fiducies de loisirs communautaires associées (conjointement, « les Sociétés ») de cesser d’utiliser la technologie de reconnaissance faciale ( « FRT ») et la numérisation d’empreintes digitales (« FS ») pour surveiller la présence des employés.

Selon l’ICO, les entreprises, qui traitent les données biométriques en tant que contrôleurs ou contrôleurs conjoints dans 38 installations de loisirs, n’ont pas réussi à démontrer la nécessité et la proportionnalité de l’utilisation du FRT et du FS pour contrôler la présence des employés, considérant que des moyens moins intrusifs tels que les cartes d’identité et les porte-clés étaient disponibles.

Cette mesure coercitive fait suite aux récentes directives de l’ICO sur la surveillance sur le lieu de travail et, pour prendre sa décision, l’ICO a pris en considération le déséquilibre des pouvoirs entre l’employé et l’employeur qui, selon le régulateur, rendait peu probable que les employés puissent refuser. la collecte et l’utilisation de leurs données biométriques pour le suivi de la fréquentation.

L’ICO a ordonné aux entreprises de cesser le traitement des données biométriques pour contrôler la présence des employés et de supprimer toutes les données biométriques qu’elles ne sont pas tenues de conserver dans un délai de trois mois. Lisez la décision et le communiqué de presse de l’ICO.

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Ceci circule sur internet : Mahjoub Mahjoubi : l’avocat de l’imam a déposé un recours en «référé-liberté» pour contester son expulsion

A mentionner, ce post sur internet dont la thématique est « la justice » et qui est susceptible de vous plaire.

Son titre troublant (Mahjoub Mahjoubi : l’avocat de l’imam a déposé un recours en «référé-liberté» pour contester son expulsion) résume tout l’encart.

Présenté sous la signature «d’anonymat
», le pigiste est positivement connu.

Sachez que la date de parution est 2024-02-28 09:16:00.

L’avocat de l’imam Mahjoub Mahjoubi, expulsé vers la Tunisie le 22 février dernier par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, vient officiellement de déposer ce mercredi un recours en …

Bibliographie :

Défendre : pour une défense pénale critique,Le livre .

L’Économie politique et la justice/1,Le livre . Ouvrage de référence.

Vocabulaire anglais-français à l’intention des apprenants avancés/J,Le livre .

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Cela se propage sur internet : François Fillon devant la Cour de cassation : il « souhaite être jugé de façon impartiale », selon son avocat

Dans le cadre de notre tâche de vous informer, nous publions ci-dessous un papier vu sur le web ce jour. Le propos est «la justice».

Son titre (François Fillon devant la Cour de cassation : il « souhaite être jugé de façon impartiale », selon son avocat) est parlant.

Sachez que l’écrivain (identifié sous la signature d’anonymat
) est positivement connu.

Vous pouvez donc vous fier aux informations qu’il diffuse.

Sachez que la date de parution est 2024-02-27 12:14:50.

L’ancien Premier ministre a été condamné par la cour d’appel de Paris, en mai 2022 à quatre ans de prison dont un an ferme, dix ans d’inéligibilité et 375 000 euros d’amende dans l’affaire des emplois …

A lire sur un thème équivalent:

Appel à la justice de l’État/Lettre au prince de Galles,Clicker Ici . Disponible dans toutes les bonnes bibliothèques de votre département.

Jeux dangereux,Le livre . Ouvrage de référence.

Zoopolis,(la couverture) .

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A lire cet article : « On n’a pas vu ma tête mais on a vu la sienne ! » : Antoine Reinartz, l’avocat de Anatomie d’une chute, débriefe le triomphe du film aux César – Actus Ciné

A-lire-cet-article-On-na-pas-vu-ma

Ce papier ayant pour thématique « la justice » circule sur le web, nous avons voulu vous le diffuser sans attendre.

Son titre (« On n’a pas vu ma tête mais on a vu la sienne ! » : Antoine Reinartz, l’avocat de Anatomie d’une chute, débriefe le triomphe du film aux César – Actus Ciné) parle de lui-même.

Sachez que l’écrivain (présenté sous le nom d’anonymat
) est connu et fiable.

Le papier peut par conséquent être pris au sérieux.

L’article a été édité à une date indiquée 2024-02-26 12:03:00.

Bestimage

La 49e cérémonie des César a eu lieu et a vu le sacre d’Anatomie d’une chute de Justine Triet avec 6 prix remportés. La rédac d’AlloCiné débriefe cette soirée en compagnie d’Antoine Reinartz, l’avocat général du film de Justine Triet.

L’acteur a été précédemment Césarisé pour son rôle dans 120 Battements par minute de Robin Campillo. On a également pu le voir dans La Vie scolaire, la série Tapie sur Netlfix, et bientôt dans la série La Maison sur Apple TV+.

Quelles ont été les surprises de la cérémonie ? Les moments forts ? Les moments de rire et d’émotion ? Ce podcast sera aussi l’occasion de revenir sur l’incroyable carrière du film, Le fabuleux destin d’Anatomie d’une chute comme l’écrit joliment Le parisien ce matin.

César 2024 : Anatomie d’une chute Meilleur Film, Justine Triet Meilleure Réalisatrice

On parle de tout ça dans notre nouvel épisode de Spotlight.

ECOUTEZ NOTRE PODCAST :

Anatomie d’une chute est actuellement au cinéma, et disponible sur myCANAL, en VOD, et en DVD et Blu-Ray.

Pour être sur de ne manquer aucun épisode, on vous invite à vous abonner à notre chaine Allociné Podcast, sur Spotify, Deezer, Apple podcast ou votre appli préférée.

N’hésitez pas à partager, noter, commenter l’émission et à vous abonner à AlloCiné Podcasts.

Tous nos épisodes sont à retrouver sur les plateformes de podcast, dont Deezer, Spotify, Apple Podcasts, Acast…

Crédits :

Journaliste – présentatrice : Brigitte Baronnet

Journaliste – chroniqueurs : Thomas Desroches et Maximilien Pierrette

Réalisation et montage : Arthur Tourneret

A lire:

Boîte à jeux/Bridge cinquante ans après,Clicker Ici .

Histoire de France/Guerre de Cent ans,A voir et à lire. . Disponible sur internet.

Séries télé : visions de la justice,Clicker Ici .

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Que retenir de ce texte : le tribunal des flagrants dénis

Cet article ayant pour propos « la justice » se propage sur le web, nous avons voulu vous le révéler ici.

Le titre (le tribunal des flagrants dénis) parle de lui-même.

L’éditorialiste (annoncé sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres textes qu’il a publiés sur le web.

L’éditorial peut ainsi être pris au sérieux.

L’article original mentionné :

Arif comparaît devant le tribunal de proximité de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) pour avoir à plusieurs reprises rabaissé, poussé, giflé et asséné des coups de poing et de pied à sa femme, Rifah. Elle le rejoint en France après un mariage arrangé au Bangladesh et, dès son arrivée, cet homme né en 1988 se montre violent avec elle. En guise d’explication, il confessera à son beau-frère, dont les propos sont cités à l’audience, que sa femme ne lui plaît pas parce qu’elle n’est « pas belle comme il le voudrait ». Très vite, Arif le lui reproche directement. « Il me rabaissait tout le temps, il me disait que j’étais dégueulasse, que je n’étais pas une bonne personne pour me marier, il me comparait avec d’autres filles, murmure Rifah à la barre, la voix couverte par celle de son interprète. Je lui ai demandé pourquoi il m’avait épousée dans ce cas. » À partir de cette réponse, dit-elle, les coups pleuvent.

« Je n’ai jamais levé la main sur personne et je ne l’ai pas ramenée ici pour la violenter, s’agace Arif, qui nie l’ensemble des violences reprochées.

Une personne physique n’est pas “ramenée”, monsieur. C’est un objet qu’on ramène, relève le président du tribunal, Peimane Ghaleh-Marzban.

Qu’elle me regarde dans les yeux et me dise que je l’ai frappée. En France, on peut se séparer, je n’ai pas besoin de la tuer. »

En plus des violences physiques répétées, il y aurait eu des menaces de mort, remarque le président. « Non, pas vraiment, rectifie Rifah. Il m’a juste dit que si je mourais, il serait en paix. » Éric Mathais, le procureur de la République, qui, outre la gravité des faits, souligne « le sourire ironique de monsieur lors des prises de parole de sa femme », requiert « six à dix mois » d’emprisonnement avec sursis. L’avocate d’Arif, elle, plaide la relaxe au bénéfice du doute dans un dossier qui, si son client venait à être condamné, engendrerait une « insécurité juridique en raison de l’absence d’élément matériel et intentionnel ». L’homme est finalement condamné à six mois de prison avec sursis et frappé d’une interdiction de contact et de paraître au domicile de la victime.

Voilà pour le premier des douze dossiers qui ont été jugés jeudi 22 février 2024 après-midi. Tous concernent des faits de violences intrafamiliales et, dans leur immense majorité, des violences conjugales. Tous seront traités ce jour lors de l’audience foraine mensuelle, longue de près de dix heures. « Foraine » parce que délocalisée du tribunal judiciaire de Bobigny au tribunal de proximité de Saint-Denis. En 2021, lorsque ces audiences à juge unique ont été instituées, elles s’inscrivaient dans le cadre du développement de la « justice de proximité » chère au président Emmanuel Macron. Elles mêlaient alors petite délinquance et, déjà, violences conjugales.

Bibliographie :

Grec ancien/Dieux/Dicé,Le livre . Ouvrage de référence.

La Justice/Veille I,A voir et à lire. .

Notes d’audience ou Les Mémoires d’une « tribunaliste »,(la couverture) .

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A lire cet édito : Her sons were killed by Rebecca Grossman. Mother fought for justice, sees God’s will in murder verdict

A nouveau, ce site va porter à votre connaissance un article qui se propage sur le web. Le thème est «la justice».

Son titre troublant (Her sons were killed by Rebecca Grossman. Mother fought for justice, sees God’s will in murder verdict) est sans confusion.

Sachez que le rédacteur (annoncé sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur internet.

L’article a été publié à une date indiquée 2024-02-24 13:20:00.

Nancy Iskander arrived at the graves of her two young sons a few hours after a jury on Friday convicted Rebecca Grossman of murdering them.

It was the end of a wrenching day. Three years after Grossman sped through a Westlake Village crosswalk in her Mercedes, hitting Iskander’s sons as she watched in horror, she had finally found some level of closure.

“Someone was held accountable for your murder sons. Sleep tight. Rest in peace,” she wrote on X along with a dusk photo of the marble headstone.

It took jurors a little over one day to convict Rebecca Grossman on all charges.

In doing so, the jurors appeared to embrace the prosecution’s case that Grossman — the scion of a prominent medical family — was reckless and impaired by margaritas and Valium when she plowed through the residential intersection and hit the children as they walked in a marked crosswalk.

The jury convicted Grossman on two counts of murder, two counts of gross vehicular manslaughter and one count of hit-and-run resulting in death. Those were the maximum charges sought by prosecutors. The jury could have opted for lesser charges, such as vehicular manslaughter with ordinary negligence.

A sign shows an image of Mark Iskander, 11, left, and his brother Jacob Iskander, 8.

(Mel Melcon / Los Angeles Times)

For Iskander, it was a moment of satisfaction and grief. She had been bearing witness for her boys, testifying in court and demanding authorities take the case seriously.

“My family has been waiting for this for three and a half years now. I’ve been waiting for the trust of the justice system. So today we’re just giving glory to God, the God of Mark and Jacob has been with us through that time and helped us through, carried us,” she said outside of court.

She said sitting through the high-profile trial “felt like I am attending the funeral of the boys again, day after day. That’s how it felt, seeing the defendant and defense attorneys.”

But with the conviction she felt, it was all worth it.

“We were trusting the justice system,” she said. “We have a justice system you can trust from our experience. It’s not a justice system where people get away with things just under the color of their skin or their wealth or anything. You commit a crime, you will be held accountable.”

On Sept. 29, 2020, when Iskander and her three sons approached the crosswalk, wearing inline skates, she began to cross Triunfo Canyon Road at Saddle Mountain Drive. Her youngest son, Zachary, was next to her on his scooter. Mark, on a skateboard, and Jacob, also wearing inline skates, followed a little over arms length behind.

Prosecutors accused Grossman of reaching 81 mph before lightly braking and hitting the brothers at 73 mph, based on the car’s data recorder and the distance Mark was found from the crosswalk.

Prosecutors allege Grossman, 60, had cocktails with her then-boyfriend Scott Erickson, a former Dodgers pitcher, and then raced with him — he in his black Mercedes sport utility vehicle and she in her white Mercedes SUV — along Triunfo Canyon Road until they reached a crosswalk.

Prosecutors also have alleged that Grossman traveled a third of a mile after slamming into the children before safety features in her car automatically shut it down.

Iskander’s witness testimony was a highly charged moment in the trial, as she described watching Grossman’s SUV plowing into her sons.

“I heard the loud noise, and I heard the driver of that car kept going,” Iskander told jurors. “I started screaming, ‘I can’t find them.’”

“Nobody came back to help,” Iskander said. “She did not come back to the scene.”

“She killed my kids,” Iskander said of Grossman. “They aren’t at school. They are not playing sports. They are at the cemetery.”

Grossman was taken into custody after the verdict. She faces a sentence of 34 years to life in prison based on the conviction. Grossman’s lead attorney, Tony Buzbee, called the verdict unexpected and vowed to appeal.

Nancy Iskander said it didn’t bring her any joy to see Grossman in handcuffs. Grossman’s daughter overcome with emotion yelled “Oh My God” as the first word guilty echoed across the courtroom.

“No one wishes that on anyone,” Iskander said. “I promise I do not have any hate for her. My heart broke for her children. … It wasn’t easy, but it will bring me closure.”

Iskander also took time to talk about her sons.

Supporters of the Iskander family embrace outside Van Nuys courtroom after the verdict.

(Brian van der Brug / Los Angeles Times)

“Well, they were golden-age children. They love God. They were raised at the church. They were hardworking. They were honest. They cared about the truth,” she said. “And they were spoken for by a prosecution who’s also just that hardworking, honest, who cared about the truth.”

“Mark and Jacob didn’t die. Mark and Jacob were murdered,” she added.

She said her family was able to cope with the tragedy because of a large support group. “We’re thankful for our community. We’re thankful to everyone here.” Her son Zachary, who was 5 on the day of the crash, continues to deal with the trauma of losing his brothers.

Iskander’s husband, Karim, said he hoped the verdict would be a turning point.

“We finally can move on. Finally. We have been waiting for the closure,” he said.

He also thanked the jury, saying they saw past “the imaginary conspiracy theories and tricks…. and focused on the evidence and they took it seriously.”

Bibliographie :

Des citoyens face au crime,Le livre .

Justice,Clicker Ici .

Photographie/Sociétés et Organisations/Éditeurs de cartes postales/L. Dulac,Le livre .

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Information toute fraiche : Son avocat répond à Macky Sall qui lui suggère d’introduire une demande

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Notre staff va mettre en pleine lumière cet éditorial qui vient de paraître, dont la thématique est «la justice».

Le titre séduisant (Son avocat répond à Macky Sall qui lui suggère d’introduire une demande) est parlant.

Identifié sous le nom «d’anonymat
», le journaliste est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres éditoriaux qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez de ce fait donner du crédit à cette actualité.

Sachez que la date de publication est 2024-02-23 09:01:00.

Voici ll’article dont il s’agit :

Lors d’une interview récente accordée à des médias au Sénégal, le président Macky Sall a évoqué la situation de Bassirou Diomaye Faye, candidat à l’élection présidentielle dont la candidature a été validée par le Conseil Constitutionnel. Le président a indiqué que la possibilité de libération de Faye était envisageable, précisant que cette démarche dépendrait des avocats du candidat qui pourraient demander une liberté provisoire. Il a souligné son souhait de ne pas s’immiscer dans cette affaire.

En réponse, Me Moussa Sarr, avocat de Bassirou Diomaye Faye, a exprimé une position divergente lors de son passage sur RFM matin le vendredi 23 février 2024. Il a mentionné ne pas envisager de déposer une demande de liberté provisoire pour son client. L’avocat a souligné que si le pouvoir exécutif, à travers la Chancellerie, instruisait le parquet pour la libération de tous les détenus politiques, y compris Bassirou Diomaye Faye, cela serait une initiative louable. Toutefois, il a rappelé que la situation des détenus politiques, y compris les libérations récentes, relevait d’une décision politique et qu’une intervention de sa part n’était pas nécessaire pour la libération de son client.

Me Moussa Sarr a insisté sur le fait que la libération des détenus politiques ne requiert pas l’intervention d’un avocat, se référant à l’utilisation de l’article 128 du code de procédure pénale par le procureur de la République pour libérer des détenus. Il a affirmé n’avoir reçu aucun mandat de Bassirou Diomaye Faye pour introduire une demande de liberté provisoire, la jugeant inutile. L’avocat a conclu en rappelant que l’arrestation de son client et d’autres détenus politiques était motivée par des raisons politiques, et que leur libération devait également être une décision de l’État sénégalais, qui devrait instruire le parquet à cet effet.

Parutions:

Appel à la justice de l’État/Seconde lettre à milord Sidney,Ouvrage .

Les erreurs judiciaires,Le livre .

Une tragédie américaine,Le livre .

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Quoi penser de ce papier : Jura Le conflit entre frère et sœur finit au tribunal : elle est condamnée à une amende

Nos rédacteurs ont vu un papier sur internet dont la thématique est «la justice».

Le titre (Jura Le conflit entre frère et sœur finit au tribunal : elle est condamnée à une amende) en dit long.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», l’écrivain est positivement connu.

Vous pouvez donc faire confiance aux révélations qu’il divulgue.

Sachez que la date de publication est 2024-02-22 04:30:00.

L’article dont il s’agit :

C’est la sœur, âgée de 39 ans, qui se retrouve sur le banc des prévenus, ce vendredi 9 février à l’audience correctionnelle du tribunal de …

Publications:

Contribution à l’étude de la pénalisation,Le livre . Ouvrage de référence.

Justice aux Canadiens-Français !/Chapitre V,Le livre .

Précis de droit pénal et de procédure pénale,Le livre .

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A lire cet écrit : Justice Alito Renews Criticism of Landmark Ruling on Same-Sex Marriage

En enquêtant sur internet nous avons découvert un article qui risque de vous interpeller. Son propos est « la justice ».

Son titre (Justice Alito Renews Criticism of Landmark Ruling on Same-Sex Marriage) parle de lui-même.

Présenté sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est connu et fiable pour plusieurs autres posts qu’il a publiés sur le web.

La confiance est ainsi substantielle en ce qui concerne cet éditorial.

Le papier a été édité à une date mentionnée 2024-02-20 14:19:00.

Justice Samuel A. Alito Jr. on Tuesday renewed his criticisms of the Supreme Court’s landmark decision recognizing the right to same-sex marriage, saying that people who oppose homosexuality risk being unfairly “labeled as bigots and treated as such.”

The justice included his warning in a five-page statement explaining why the court had rejected a request to hear a Missouri case about people removed from a jury after voicing religious objections to gay relationships. The case, Justice Alito wrote, “exemplifies the danger” from the court’s 2015 decision, Obergefell v. Hodges.

The ruling, he added, shows how “Americans who do not hide their adherence to traditional religious beliefs about homosexual conduct will be ‘labeled as bigots and treated as such’ by the government.”

The statement appeared to offer a glimpse into Justice Alito’s continued discontent with Obergefell v. Hodges, in which the court, by a 5-to-4 vote, guaranteed a right to same-sex marriage, a long-sought victory in the gay rights movement.

In the years since, Justice Alito and Justice Clarence Thomas, who both dissented from the 2015 decision, have appeared to urge the court to reconsider the ruling. The court, they have contended, invented a right not based in the text of the Constitution and said it had cast “people of good will as bigots.”

Only two members of the court who ruled in favor of Obergefell remain on the bench — Justices Sonia Sotomayor and Elena Kagan. The court has since transformed under the presidency of Donald J. Trump with the addition of three conservative justices who have solidified a conservative supermajority.

The case at issue on Tuesday, Missouri Department of Corrections v. Jean Finney, No. 23-203, involved a dispute over the dismissal of jurors who voiced religious concerns about gay relationships during jury selection in an employment discrimination case.

Jean Finney, an employee of the Missouri Department of Corrections, claimed that after beginning a same-sex relationship with a co-worker’s former spouse, that co-worker made Ms. Finney’s job intolerable. The colleague spread rumors about her, sent demeaning messages and withheld information she needed to complete her work duties, Ms. Finney said. Ms. Finney sued the Department of Corrections, accusing the department of being responsible for the co-worker’s actions.

During jury selection, Ms. Finney’s lawyer questioned potential jurors about their religious beliefs about sexuality. Among the questions: “How many of you went to a religious organization growing up where it was taught that people that are homosexuals shouldn’t have the same rights as everyone else because it was a sin with what they did?”

The trial lawyer moved to strike certain jurors on the basis of his questions, according to the legal brief filed by the Department of Corrections. The brief took issue with the trial lawyer’s tack, saying that it essentially endorsed the idea that “a person with traditional religious beliefs should never sit on a jury when a party has been in a same-sex relationship because when a prospective juror believes as a religious matter ‘that is a sin, there’s no way to rehabilitate.’”

The lawyer for the Department of Corrections objected, saying that such a request edged into religious discrimination.

The trial judge granted Ms. Finney’s lawyer’s request to strike the jurors, and the jury sided with Ms. Finney, prompting the Department of Corrections to ask for a new trial.

The Department of Corrections asserted that by excluding the jurors who voiced their religious beliefs, the trial judge had violated the 14th Amendment.

After the Missouri Court of Appeals upheld the verdict and the state Supreme Court declined to review the case, the Office of the Missouri Attorney General asked the United States Supreme Court to take up the case.

Even as Justice Alito wrote that he reluctantly agreed that the court should not take up the case, he said he remained troubled by the issue.

“I am concerned that the lower court’s reasoning may spread and may be a foretaste of things to come,” he wrote.

Livres sur le même propos:

Droit et déontologie de la profession d’avocat,Le livre . Ouvrage de référence.

Histoire de France/Guerre de Cent ans,A voir et à lire. .

Photographie/Personnalités/K/Alberto Korda,Le livre . Disponible dans toutes les bonnes librairies.

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Decouvrez : Avec Maître Cyril Dubois, avocat du CUP

Voici les « bonnes pages » d’un dossier que notre équipe vient de identifier sur internet. Le thème va bien vous plaire. Car le sujet est « la justice ».

Son titre (Avec Maître Cyril Dubois, avocat du CUP) en dit long.

Sachez que l’auteur (annoncé sous la signature d’anonymat
) est connu et fiable pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur internet.

Il n’y a aucune raison de douter de la fiabilité de ces informations.

La date de publication est 2024-02-20 09:00:00.

Texte :

Ce soir on reçoit Maître Cyril Dubois, avocat-barreau de Paris, du Collectif Ultras Paris, notamment spécialisé dans les questions liées aux droits des supporters.

Ce soir, dans 100% PSG, le mag’ :

L’invité du soir : Maître Cyril Dubois, avocat-barreau de Paris, du Collectif Ultras Paris, notamment spécialisé dans les questions liées aux droits des supporters.

Les sujets du soir :

Maître Cyril Dubois reste avec nous durant toute l’émission.

Les relations au beau fixe avec le club seront évoquées, ainsi que le sujet du Parc des Princes, et la position de la CUP.

Nous aborderons notamment l’historique des interdictions de déplacement, la perte de compétence des forces de l’ordre, les droits des supporters…

Nous reviendrons aussi sur la gestion de la situation par le CUP (par exemple ce week-end comment ils ont choisi les 500 qui partiraient), ce que ça implique concrètement dans l’organisation du déplacement, ces annulation et décrets le jour-même

Enfin, nous analyserons ce qu’est l’Association nationale des Supporters.

Le PSG Vintage de Thierry Boeuf :

Thierry Boeuf revient à l’inauguration du Parc des Princes 1971.

100% PSG, c’est aussi un dossier qui reprend toute l’actualité du club et tous les rendez-vous de France Bleu Paris : retrouvez tous les matins à 8h33 100% PSG, le billet , tous les soirs 100 % PSG, le mag’ à 18h et tous les lundis 100% PSG, la tribune.

A lire sur un thème concordant:

Contes d’Italie/Justice populaire,Ouvrage .

La Justice/Premiere partie,(la couverture) .

Procédure civile : droit interne et droit communautaire,Le livre .